De retour de Rome aujourd'hui. J'ai fini de lire «Nausée» de Jean-Paul Sartre, et sont passés à «Le nom de la Rose» d'Umberto Eco. Un personnage appelé «Salvatore» utilise un bon mélange de français, l'italien et le latin.
La parcelle ci-dessous est tirée de Wikipedia
En 1327, alors que la chrétienté est divisée entre l'autorité du pape Jean XXII et celle de l'Empereur Louis IV du Saint-Empire, l'ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville se rend dans une abbaye bénédictine, située entre la Provence et la Ligurie, accompagné par son novice Adso qui est le narrateur de l'intrigue. Dans un climat de conflit théologique entre les franciscains et l'autorité pontificale au sujet de la pauvreté du Christ
– servant avant tout de façade au conflit politique entre le pape et
l'empereur – l'ancien inquisiteur doit reprendre sa charge à la demande
de l'abbé, à la suite de la mort suspecte d'un des moines. Rapidement,
ce que beaucoup semblaient considérer comme un suicide prend des allures
de plus en plus inquiétantes. Lorsque l'inquisiteur dominicain Bernardo Gui se rend à l'abbaye à la demande du pape, et commence à se mêler à l'enquête, cela est loin d'arranger les choses.
Le Nom de la rose est une histoire en sept chapitres, chiffre
symbolique qui représente le nombre de jours et d'étapes de l'enquête
ainsi que le nombre approximatif de morts. L'histoire est bornée par le
récit de la découverte du manuscrit que l'auteur prétend traduire, et
par les conclusions du narrateur devenu vieillard.
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